Bunker Paradise

une déferlante dans la réalisation cinématographique puisque ce film pour moi est une oeuvre d'art aussi poignante que Dancer in the dark de Lars von trier. C'est un film tout droit sorti de Belgique mais il casse tout les on-dits qu'on dit sur les belges, car voyez-vous ce film est une vague qui vous crache à la gueule comme ça par hasard. Par hasard oui.
On connaissait Jean-Paul Rouve pour ses conneries chez les robins des bois  sur canal+ mais là c'est plus le guignol qu'on voyait à la télé non c'est bien plus pire, bien plus grave que la drolerie. c'est l'ivresse. le trop de tout . J'ai l'impression de me voir comme à la sortie u concert de Tiersen au 28 septembre à Morlaix mais là c'est un film dont ontombe sur le cul puisque c'est un raz de marée qui vous innonde comme un tsunami en asie du sud. plus qu'à voir, à dévorer. à boire cul sec comme un doigt de gnole

juju des marécages le roy

Comments

[Moi]

... Mais je ne saisi toujours pas comment certains d'entre nous font pour ressentir de telles émotions dans des films de cinéma... Comment peut on dire d'un film comme ça qu'il est impressionnant? Peut-être ne suis-je pas sensible au 7ème art, mais je ne trouve pas qu'un film peut dégager autant d'impressions qu'une vraie musique ou un chef d'oeuvre d'art plastique... Enfin bon, si cela plait comme ça; peut-être est-ce le fait que le cinéma est plus une industrie qu'un art ; naturellement, on me citera l'art moderne qui remet en cause la primauté de l'oeuvre par la production en série ; mais cela ne constitue pas l'art plastique exprimant des sentiments ; en voyant la pissotière de Duchamps, peut-on être aussi ému que devant la Pièta de Michel Ange? Non, donc cet argument n'est pas valable, ne le formulez même pas!!!

Sinon, je crois que je passe pour le bon vieil associal qui se sépare de la masse. Mais je finirais sur une parole de mon prof de philo : La masse ne pense pas.